Mars shadow
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Message par wizard Ven 9 Jan - 10:16

L’exil de Viviboss devint permanent, au dire de certains, il était mort, moi je préférais penser qu’il avait Choisi de partir pour étudier Mars sous un autre angle. Dans la culture mando, il serait qualifié de Cuy’val Dar, qui veut dire, celui qui n’existe plus. Pour les mandaloriens, un guerrier qui n’existe plus n’est pas forcément mort, il peut être juste obligé de disparaître pour une question de contrat ou pour une raison personnel.

Comme je ne voyais rien qui puisse, dans son entourage personnel, lui donner l’envie de partir, sa disparition, je suppose, ne peut avoir uniquement comme but d'être seul pour trouver le véritable sens de tout ce qui nous entoure sur Mars.


Minerve était effondrée, même si elle gardait la tête droite, je savais bien qu’elle se réfugiait souvent dans son bureau pour se laisser aller à sa peine.

En plus de tout cela, un jeune Di’kut qui nous en veut parce que nous avons réagi lorsqu’il nous a attaqué. Comme Le dit un proverbe mandalorien « Mando'ad draar digu », Un mandalorien n’oublie jamais. S’il veut la guerre, alors aujourd’hui est un bon jour pour que quelqu’un d’autre meure.


Enfin, tout cela n’est rien face à ma peine, je reprends officiellement le poste de leader du syndicat, ce qui fait que je dois ranger les affaires de Vivi’buir. Je fus surprise de constater qu’il était parti sans emmener ses armes, je sais qu’il y tenait beaucoup, il m’avait même dit un
jour que seul un membre de sa lignée pourrait les porter.

Pour moi, ses armes n’étaient pas que des engins de mort, elles étaient aussi une partie de lui, une partie de celui qui m’a formé. Je n’osais y toucher, mais je ne pouvais pas non plus les laisser là. Aussi décidais-je de les mettre sous verre, et de les rendre à Minerve. Je me rendis au garage du syndicat et y pris une vitre neuve de Betrayal, une caisse du bois de placage.

Ensuite, je partis dans mon Bunker ou je sacrifiai l’une de mes vieilles robes de velours, je la choisis Azur, je découpai dedans avec ce que je trouvai, un carré suffisamment grand pour en faire un écrin.

Prenant tout cela, je retournai au garage syndical où je pus mettre tout en place, il ne me restait plus que le verre à monter, mais avant, il
fallait que j’y mette les armes d’Eld. Je repartis donc à mon bureau et tendis les mains vers ces deux colts qui se mirent à irradier une lueur qui me fit penser qu’ils contenaient la puissance du soleil. Je retirai vivement mes mains, j’avais senti une intense brûlure alors que je ne les avais pas touché.

Aussitôt je me rappelai ce que Viviboss m’avait dit un jour au sujet du Glam. Cette force ésotérique, magique même d’après ce que j’avais pu comprendre, surtout seul un membre de sa lignée pouvait tenir ces colts et il les tenait de son père qui lui même les tenait de son propre père.

Je décidai de leur parler, non pas de manière « ésotérique » mais comme si je parlais à mon vieil ami.
« Ecoutez, je ne veux pas vous laisser enfermés dans un tiroir, d’une part parce que j’ai besoin de place, mais d’autre part parce que je juge nécessaire de rendre ainsi hommage à votre dernier possesseur. Il était mon ami et même si je dois me brûler les mains jusqu’aux os, je vous prendrai pour vous mettre dans ce cadre d’exposition légèrement minable, j’en conviens, mais ainsi vous serez à l’abri et nous aussi. Je sais que Viviboss n’aurait pas voulu que quelqu’un se blesse en vous prenant malencontreusement, c’est pour cela que je veux vous mettre sous verre. »

Les armes se mirent à irradier de bleu et une pulsation semblable à un battement de cœur mais comme si ce dernier était affolé, je compris donc que les armes essayaient de me répondre à leur manière. J’en conclus qu’il fallait que je continue de leur parler en espérant que le ralentissement de ces pulsations signifiait qu’elles entendaient, comprenaient et surtout acceptaient ce que je leur disais.

« Voilà, vous savez pourquoi je veux vous prendre, et je fais le serment ici devant vous que je ne vous utiliserai pas, je vous autorise à me désintégrer sur place si vous sentez que je veux faire plus que ce que je vous dis. »

Les pulsations ralentirent, en comptant, je constatai qu’elles étaient passées de 200 pulsations par minute à un peu moins de 140. Ce que je disais avait une influence mais il semble que ce n’était pas suffisant. Et je compris que c’était dû à mon passage en enfer et dans le camp du Mal.


Je repris la parole :
« Je sais que vous pensez que je mens parce que je fus autrefois aux ordres du Mal, mais j’ai changé de camp lorsque j’ai compris toute la
douleur que je causais. J'en suis venu à faire le mal par vengeance, les humains m’ont brûlé parce que soit disant j’étais une sorcière, Lucifer m’a donc transformé en sorcière afin que je puisse assouvir ma vengeance sur l’espèce humaine. Je ne vais pas vous mentir, j’ai commis des atrocités dans ma vie, en plus de 400 ans je dois être responsable directement ou indirectement de plusieurs milliers de morts. Même si je sais que ce que je suis devenue ne m’affranchie en rien de ce que j’ai pu faire avant, je vous demande à nouveau de me laisser faire ce
que je dois faire pour honorer la mémoire de Viviboss. »

Les pulsations diminuèrent encore, mais ce n’était pas suffisant, je le savais, je tentai une dernière chose avant de faire ce que j’avais dit,
et peu importait les conséquences sur mon corps.

« Je veux non seulement honorer la mémoire de celui qui fut et restera à jamais mon ami, mais je veux aussi vous protéger contre le vol. Voilà ce que je vous propose, je vais vous prendre, vous déposer dans cette boîte vitrée, ensuite j’utiliserai pour la dernière fois la totalité de mes pouvoirs pour lancer un sortilège de protection qui, sans nul doute, sera amplifié par l’ésotérisme, ou Glam si vous préférez, ambiant de Mars afin que seul un descendant de la lignée d’Eld puisse ouvrir ce cadre. En fait, je pense même que celui qui voudrait vous voler serait obligé d’emmener avec lui le Bunker de commandement complet pour espérer vous posséder, mais quand bien même il le ferait, il ne pourrait vous sortir de ce logement. De plus je vais lier cette pièce à mon esprit, si bien que quiconque entrera sans mon autorisation ici m’alertera malgré lui et comme mes quartiers sont justes à côté, il ne pourra rien tenter sans avoir à faire avec moi. Je sais que pour vous ce ne sont que des promesses, mais sur ma vie j’honorerai cet engagement comme j’honore toujours le serment fait à un autre grand homme de venir dans ce syndicat ainsi que l’engagement envers Viviboss de veiller sur son épouse. Maintenant, advienne que pourra, je vais vous prendre et respecter ma dette. »

Aussitôt je saisis les armes, les pulsations étaient calmes mais fortes, je les sentais dans mes mains, je ne doutais pas que si je les
gardais un peu trop longtemps à leur goût, je serais incinérée sur place. Un picotement légèrement désagréable traversait mes mains et mes avant-bras. Je déposai assez rapidement les armes dans le cadre, posai le verre sur le tout, puis je mis le placage afin de bloquer le verre dans cette position.

Je pris le cadre, courus jusqu’au bureau de Minerve, le posai contre le mur à un endroit qui me semblait judicieux, tout en le maintenant en
place, je fermai les yeux et entamai un rituel méditatif afin de concentrer toute l’énergie ésotérique que je possédais. Je la laissai filtrer de mes mains et d’un coup je me mis à psalmodier, j’étais en transe et je libérai toute l’énergie dont je disposais en une seule fois, scellant du même coup la protection des colts et la fin de mon pouvoir. La puissance déployée était considérable.


Cette protection avait pour but d’empêcher quiconque de toucher ces armes, cela m’incluais aussi. En réponse à l’afflux d’énergie, je sentis que mes forces m’abandonnaient. Je relevai les yeux et vis les colts briller intensément enveloppant totalement le cadre ainsi que mes
avant-bras. Puis je fus projetée en arrière, j’atterris lourdement sur le sol et je sentis un craquement lugubre, sûrement quelques fractures... et je perdis conscience.


Dernière édition par wizard le Dim 8 Mar - 15:53, édité 6 fois (Raison : Version définitive corrigée)
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Message par wizard Dim 15 Fév - 18:26

Je me réveillai à l’infirmerie, Aalia me surveillait, celle-ci me dit :

« Wizard, bonjour, sais-tu où tu te trouves ? »

« Ben soit je suis chez toi dans ton lit, soit je suis à l’infirmerie, je parierais plutôt sur l’infirmerie vu que j’ai mal partout. »

« Qu’entends-tu par « mal partout », insinuerais-tu que je fais mal mon boulot ? »

Aalia, toujours aussi prompte à s’énerver.

« Non, dis-je en souriant, juste que si j’ai mal partout et que je me réveille ici c’est qu’il m’est arrivé un truc et que j’ai été transféré ici. »


« J’aime mieux cela, et oui en effet, il t’est arrivé un truc, mais personne ne sait ce qu’il s’est passé, tout ce que je peux t’expliquer c’est que Minerve t’a amené ici avec Tomtom. Elle m'a juste informée qu’elle te devait des remerciements, puis elle a fondu en larmes et est partie précipitamment. Tomtom n’a pas été plus loquace, donc peut-être que toi tu pourras me révéler comment t’es-tu brisée six côtes et la clavicule gauche ? Comment t’es-tu brûlée les mains à ce point ? Et surtout avec quoi ? Parce que je n’avais jamais vu cela, il semble que tes brûlures cicatrisent, mais quoi que je mette sur tes celles-ci cela disparaît en ne laissant pas de traces. »


« Je ne me souviens de rien du tout, je ne peux donc pas te répondre, mais nous trouverons un jour ou l’autre.»

Légèrement décontenancée par les propos d’Aalia, je regardai mes mains, pris d’une irrésistible envie de regarder leurs états, mais terriblement apeurée de ce que j’allais voir. Finalement l’envie se fit la plus forte et je posai les yeux sur mes mains et ce que je m’apaisai. Mon regard passa tour à tour de mes mains à Aalia puis je dis :

« Je ne saurais t’expliquer en détail, mais saches que j’ai réussi. »
Puis je me levai, pris mes affaires et je sortis de l’infirmerie. Aalia me suivit en me demandant sèchement de bien vouloir retourner à infirmerie et de me reposer. Et plus je m’éloignais de l’infirmerie plus Aalia semblait en colère, mais sa voix trahissait aussi son inquiétude.
Je me dirigeai d’un pas rapide vers le bureau de Minerve ; arrivée devant sa porte, j’hésitai. Peut-être n’était-ce pas le bon moment pour lui rendre visite. Peut-être m’en voudrait-elle d’avoir rendu les armes de Viviboss intouchables. Chassant ces idées stupides de mon
esprit, je frappai à la porte. Minerve vînt ouvrir, elle me sourit et avant que je n’aie pu faire un pas à l’intérieur du bureau, Minerve me flanqua une baffe retentissante laissant ma joue douloureuse. Puis elle me serra dans ses bras. Je fus plus décontenancée que je ne voulais le laisser paraître. Elle relâcha son étreinte et commença à m’engueuler, il n’y a pas d’autre terme.

« Espèce de petite idiote, comment as-tu osé faire cela ? Non mais qu'est ce qui t'as pris, tu peux me le dire ? »
Je me mis à balbutier quelques mots si bas qu’ils en étaient pratiquement inaudibles.
« Je m’excuse, je pensais que cela te ferait plaisir, je ne pensais pas du tout faire quelque chose de mal.»

Là, aussitôt, Minerve se radoucit et me dit :
« Attends, excuse-moi, je pense que nous ne parlons pas de la même chose. Si je suis en colère c’est parce que tu as mis ta vie en danger. Mais je trouve ton attention digne d’une véritable amie. Peux-tu m’expliquer ce que tu as fait exactement pour te retrouver dans cet état ? »
« Et bien, comment dire cela simplement, tout d’abord commençons par le début.Tu sais que les colts de Viviboss ne peuvent être touchés que par un descendant de la lignée d’Eld. Or Viviboss a disparu sans les prendre ce qui fait que je les ai retrouvés dans son bureau lorsque j’ai dû m’installer dedans. Je ne pouvais pas les laisser là, et j’ai pensé qu’ils te revenaient. Bien sûr, du fait que je ne suis pas de la lignée d’Eld, je ne pouvais pas les toucher... »

A ce moment là, Minerve m’interrompit :
« Attends, j’ai déjà touché moi-même ces colts et il ne m’est jamais rien arrivé.»
« Oui, je te crois, sauf que toi tu à un Karma pur, hors le mien, même s’il est Azur maintenant, ce ne fut pas toujours le cas et je pense que certaines traces de mon passé karmique ont laissé une empreinte qui, je le crains soit indélébile. Ce qui fait que les colts ne voulaient pas que je les touche, ne connaissant pas mes buts réels. J’ai donc du parlementer avec eux. Heureusement pour moi ils m’ont cru, sinon
je ne pense pas que je serais là à discuter avec toi. »
« Cela ne me dit pas comment tu t’es retrouvée dans cet état », me dit Minerve.

« J’y viens, j’y viens. En fait, j’ai proposé aux colts de les aider dans leur tâche, qui est de se protéger contre toute personne n’étant pas de la lignée d’Eld. Comme tu le sais, je disposais de capacités paranormales... »
« Tu disposais, dis-tu ? »
« Oui, j’ai fait le serment aux colts d’abandonner la magie si jamais ils me laissaient faire ce que j’avais jugé bon de faire d’eux. J’ai donc utilisé tout mon pouvoir afin de catalyser la puissance ésotérique martienne contenue dans ton bureau. Je te rassure tout de suite, il n’y aura pas d’effet indésirable concernant l’ésotérisme martien, j’ai créé un bouclier magique autour de ton bureau afin de ne pas provoquer de
réaction en chaîne. Pour mon plus grand bonheur il a tenu. Forcément, une fois le sort de protection lancé, je n’avais plus la moindre Puissance magique et pour prouver une fois pour toute aux colts que j’avais changé, je me suis incluse dans le sort. Ce qui a pour conséquence que si par malheur je récupérais mes pouvoirs, je ne pourrais même pas toucher le cadre sans être projetée au loin. Ce qui s’est passé puisque j'ai touché le cadre pour lancer le sort. Mes blessures sont le résultat de ma rencontre brutale avec le sol de ton
bureau. »

Minerve me regardait d’un air perplexe et me dit :
« Oui, tout cela explique en grande partie tes blessures, mais tes mains, comment ont-elles été brûes ? »
« Alors cela, j’ai d’abord cru que c’était un contre coup de la puissance magique déployée pour protéger le cadre et puis à mon réveil, Quand Aalia m’a dit qu’elle ne comprenait pas ces brûlures, j’ai regardé mes mains et c’est là que j’ai compris qu’en fait, cela n’avait rien à voir avec mes actions, mais je pense que ces brûlures sont un cadeau. »
« Des brûlures, un cadeau !!!! Là, j’avoue ne rien comprendre » me dit Minerve qui, je le voyais bien, était totalement abasourdie.
« Oui, un cadeau et de la part des colts, je ne saurais expliquer le pourquoi du comment, tout cela est dû au fait que, premièrement, ces brûlures ne me font pas le moindre mal, et deuxièmement ce ne sont pas des brûlures normales, dans le sens où leur forme est bien définie.»
Je montrai mes mains à Minerve qui n’en crut pas ses yeux. En effet, sur mes mains et mes avant-bras était représentée une rose. Une rose sur chaque main et la tige remontant le long de l’avant-bras pour finir au coude. Les blessures étaient presque cicatrisées alors que cela ne faisait que très peu de temps que les brûlures étaient survenues. Je ne sais pas pourquoi les colts m’ont fait ce cadeau, mais une chose est certaine, elles l’ont fait .


D’un coup, sans que l’on sache pourquoi, l’alarme interne, l’alarme d’intrusion sonna, des bruits de combats nous venaient depuis la salle commune, mais que pouvait-il bien se passer ? Aussitôt, nous sortîmes du bureau de Minerve et courûmes vers l’alcôve du syndicat. A peine arrivées, nous constatâmes que la lutte était terminée. Au milieu du Bar gisaient deux personnes, les deux étaient inconscientes, à côté d’eux, fiers comme des paons, le regard haut, siégeaient Tomtom et Philippos. Je les regardai d’un air amusé et m’approchai de nos intrus. Ils portaient les insignes qui faisaient d’eux des employés de La Firme, de la section renseignements à priori. Mais une chose était bizarre, ils semblaient assez âgés or pourtant ils n’avaient que des grades 7. De plus on voyait bien qu'ils n’étaient pas des combattants, plutôt des
personnes spécialisées dans l’infiltration. Je relevai les yeux vers nos deux courageux combattants et leur dit :
« Pas la peine de pavoiser, ce ne sont que des grades 7. »
Les deux se regardèrent étonnés et me lancèrent :
« Hein !!!! 7 pas 17, t’es sûr ? »
« Oh que oui j’en suis sûr, pour deux raisons, la première étant que leurs grades sur la poitrine ne laissent aucun doute, et la seconde, ce
n’est pas vous à leurs places. En effet, tout guerrier puissant que vous êtes, contre des grades 17, vous n’auriez eu aucune chance. Désolée les gars, donc on m’enlève ces sourires suffisants. Par contre vous pouvez conserver votre fierté, normalement équipés comme ils le sont, nous n’aurions jamais dû savoir qu’ils étaient là. Ce simple fait constitue en soit, une grande victoire. »
J’examinai nos prisonniers quand l’un d’eux se réveilla. Aussitôt, je l’empoignai et le questionnai sur sa présence ici. Pour toute réponse j’eu de sa part un crachat en plein visage et il me rétorqua:
« D’autres prendront le relais, d’autres vous surveilleront et un jour vous ferez une erreur. »
A peine eut-il fini de dire cela que de la bave apparut aux commissures de ses lèvres et il rendit son dernier soupir.Je recueillis son dernier
souffle bien malgré moi, cela empestait l’amande douce. Il venait de se suicider avec du cyanure. Je me relevai et me jetai sur l’autre. Cependant il était trop tard, lui aussi était mort, de la même manière. Folle de rage, je me dirigeai vers l’un des murs de la salle et y assenai un coup de poing phénoménal, je senti mes os craquer dans ma main. Je me retournai, ignorant la douleur qui me vrillait la main gauche. Et dis :

« Que l’on me jette ces raclures dehors, et que cela reste entre nous, seules les Ombres doivent savoir ce qu’il s’est passé ici aujourd’hui. Si La Firme veut des renseignements sur nous, nous allons leurs en donner pour leur argent. Tomtom, récupère leurs grades et va les donner à
Syndrome, il saura quoi en faire. Il est temps pour nous d’obtenir plus de puissance. Si Minerve est d’accord avec moi, nous allons changer notre organisation. »
Sur ces mots, Wizard sortit de la salle suivie de près par Minerve. Ceux qui étaient restés se regardèrent, ils savaient que quelque chose allait changer et que ce changement n’allait pas forcément plaire au reste de Mars. Malgré tout il était nécessaire.


Dernière édition par wizard le Dim 8 Mar - 16:09, édité 2 fois (Raison : Version définitive corrigée)
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